













Après un petit voyage à bord du thallys, nous démarrons notre séjour par la visite de l’hôtel Max Hallet. Nous sommes reçu par le propriétaire, M. Michel Gilbert. Ouah. Malheureusement pas de photo. Mais j’en ai glané quelques unes sur internet. On peut retrouver M. Gilbert dans un article paru https://dossiers.lalibre.be/entree_privee_chez_un_fou_d_horta/
L’Art Nouveau naît à Bruxelles et un de ses plus importants représentant est Victor Horta. Il romp avec l’architecture traditionnelle des maisons bourgeoises.
Hôtel Hannon, ingénieur aux usines Solvay, dessinée par Horta et devenu un musée.
Maison Cauchie, maison de famille construite en 1905 et aussi atelier de M. et Mme Cauchie.

Décoration du bel étage avec des sgraffites (technique qui consiste à orner du mortier d’un dessin gravé)
Quelques façades…
Maison Autrique, exposition dédiée à Privat Livemont, affichiste, figure majeure de l’art bruxellois
Musées royaux des Beaux Arts

Hôtel Van Eetvelde (1895). Inscrit sur la liste du Patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO, la demeure du baron Edmond van Eetvelde, secrétaire général de l’État indépendant du Congo, proche collaborateur du roi Léopold II, était considérée par Victor Horta comme son projet le plus audacieux.
Hôtel Solvay, inscrit susr la liste du patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO. Construit entre 1898 et 1900 par Armand Solvay, fils d’Ernest qui a fait sa fortune en développant le procédé ammoniac-soude.
Au cœur du Faubourg St Antoine
Au 22-23 rue Faidherbe, Maison Boutet qui fournissait en bois les artisans du faubourg. Bâtiment de 1926 d’Achille Champy (ossature en béton armé et façade ornée de carreaux émaillés ocres et bleus.
Rue de Chanzy rue Jules Vallès Restaurant Le Chardenoux de Cyril Lignac, étain ciselé, moulures corniches, verres gravés, marquise en fer forgé.
Rue de Charonne, en 1643, plusieurs établissements religieux y furent fondés mais tous disparurent en 1790. Avant cette époque, ce village n’était rempli que de couvents et de riches maisons de campagne qui portaient alors le nom de folies. C’est là que se trouvait l’Orangerie du château de Bagnolet,
Couvent du bon secours, pour les Journées du Patrimoine, la Grande Loge Féminine de France invite à découvrir son temple situé dans l’ancien couvent des Bénédictines du Bon-Secours, son histoire et ses collections. Une déambulation entre des trésors d’arts qui permet d’en apprendre davantage sur cet ordre historique et de comprendre le rôle essentiel joué par les femmes dans le développement de la franc-maçonnerie moderne.
100 rue de Charonne, couvent de la Madeleine de Traisnel du 17e, escalier à balustres du 17e,
En 1724, les religieuses ouvrent un petit commerce d’eau de toilette à la lavande. En 1801, transformé en filalture et atelier de tissage par Richard et Lenoir.
Cour Saint-Joseph et cour Jacques-Viguès (au 3-5) Caractéristiques des ateliers d’ébénisterie du 18e, 19 et 20e.
Hôtel de Mortagne (51-53)
Le Palais de la Femme (au 94) de l’Armée du Salut, centre d’hébergement d’urgence pour femmes seules ou avec enfants. (en 2009 300 studios). Construit en 1910, sur le terrain de l’ancien couvent des filles de la croix
Cour de l’Etoile d’or, des 3 frères, passage du Chantier
Passage Lhomme, Passage Saint-Antoine, Passage de la Main d’Or
Rue Saint Bernard chapelle Ste Marguerite
Rue Trousseau (22) Immeuble des Tournesols Art Nouveau à l’angle rue C Delescluze